Dis voir, je suis tombée en amour.
Avec Tête-de-Mule.
Avec Tête-de-Mule.
Avec les Bonshommes de Øyvind Torseter d'une manière générale, je crois.
Il y a quelques semaines, je suis tombée dans son Trou, son absurde trou, avec sa couverture en carton kraft épais (tu vois quoi ?) et sa tranche jaune.
Et là, sur l'étagère de la jolie petite librairie Autour des Mots, cette Tête-de-Mule, qui me murmure Hep hep, par ici, moâ, moâ, moâ !
Et toujours ce même bonhomme, entre Moumine et Gaston Lagaffe.
Que je ne reconnais pas de suite. Ce que je reconnais bien, en revanche, c'est le petit tressaillement de mon p'tit cœur à l'appel du livre.
C'est le soir entre mes oreillers que je me suis dit Oh mais toi je te connais. T'es le bonhomme du Trou.
Autre livre, autre époque, ici point de laboratoire high-tech ni de fable urbaine, ici c'est un conte pourquoi pas médiéval et presque picaresque.
Un héros l'air de rien, un cheval (qui a peur des loups), un éléphant et un loup, une princesse du quotidien, un troll-à-ongles et sans-coeur, et des pierres. En gros.
Sur le derrière de la couv', il est écrit :
"Les Garçons, les Filles, Mesdames et Messieurs, Chers Lecteurs : voici l'épique récit, en des temps reculés difficiles, d'une audacieuse entreprise menée avec classe. Une histoire de choix impossible exigeant la plus grande intrépidité. Le parcours d'un jeune homme, devant risquer sa vie afin de (re)trouver ses frères...
Et le bonheur.
A part ça, on y parle aussi de monter à cheval, de dormir dans un sac de couchage, de se promener dans la nature, tout ça."
Je te montre ?
Bref, je suis tombée en amour avec les illustrations et les histoires l'air-de-rien de Øyvind tOrseter. nOrvégien, évidemment.
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